Ozone Le Vapothiker

La petite histoire

« Avant, nous étions de gros fumeurs… »

Avant, je fumais. Beaucoup. Comme mon frère, ma sœur, sans parler de nos parents, bien avant encore... 20, 30, 40 cigarettes par jour.

En trente ans, j’avais essayé patchs, gommes à mâcher, médicaments, hypnose, bouquins aux méthodes révolutionnaires… Et même rien !

Mais… rien.

Impossible d’arrêter. Trois semaines d’interruption maximum, dans la souffrance, le manque, la frustration.

Et puis est arrivée la vape, et j’ai lâché le tabac. Du jour au lendemain, sans stress, sans peine. Malgré mes a priori, mon scepticisme, ça marchait, et ça m’a transportée.

Une délivrance qui me laisse encore émerveillée et, pour tout dire, presque incrédule : fumeuse compulsive et invétérée depuis l'adolescence, je ne fume plus depuis plus de 10 ans ! Et mieux, je n’en ai pas souffert...

J’ai compris dès mes premiers jours de vape qu'il ne s'agissait pas d'un gadget de plus à l’effet vite retombé, juste bon à faire virer mes espoirs en un furieux sentiment d'échec. Non, réellement, pour moi, ce produit était miraculeux et allait révolutionner la vie de millions de fumeurs, leur permettre de sortir enfin d’un calvaire morbide. J’avais affaire à une innovation de rupture, aux effets immédiats incontestables.

Histoire commune aujourd’hui, tant elle ressemble étonnamment à celle d'autres ex-fumeurs devenus vapoteurs, racontée et partagée avec autant de bonheur par tous.

« Tout a commencé… »

Tout a commencé un vraiment beau jour de 2012, où j’ai acheté ma première cigarette électronique, par hasard, par curiosité, mais sans y croire. D’ailleurs, j’avais bien pris soin de garder mon paquet de cigarettes à portée de main, vu que je n’avais absolument pas décidé d’arrêter de fumer. Non, juste pour voir, comme ça… Et j’ai vu.

Il s’agissait d’un matériel de piètre qualité et de liquides assez bof. Rien à voir avec les dispositifs performants et e-liquides normés que l’on trouve aujourd’hui. Pourtant, dès les premières bouffées, sur moi, ça fonctionnait, ça « remplaçait ».

Enthousiasmée, je suis immédiatement (le jour même en fait ! Et j'y ai passé aussi la nuit...) partie en quête sur Internet des bons produits, et de toutes les infos disponibles sur les effets, les études réalisées, les avis scientifiques et médicaux, la législation. Pas faire n’importe quoi non plus ! C’était presque trop beau pour être vrai, alors méfiance…

Même si rapports et études n’étaient pas encore nombreux à l’époque, il en existait déjà, parfaitement étayés, et je n’ai trouvé que du mieux, et même du beaucoup mieux, comparé aux dégâts causés par le tabac. Alors j’ai continué mes recherches, m’informer sur le sujet me passionnait et m'a occupée à temps plein.

Et j’ai initié mon entourage, famille, amis. Certains, avec leur vaporisateur tout neuf, diminuaient simplement leur consommation de cigarettes et d’autres lâchaient carrément le tabac, du jour au lendemain, sans peine, renforçant ma conviction que ce produit avait bouleversé la donne. Me faisant regretter infiniment, aussi, que cette fabuleuse invention n'ait pas été conçue à temps pour mes parents, victimes très jeunes de celle que les vapoteurs appellent "la tueuse".

« Sécurité et plaisir maximum »

Évidemment, je ne voulais pas vaper des produits aux goûts écoeurants et aux contenus douteux : quitte à ne plus me faire de mal, autant le faire le mieux possible ! J’ai recherché dès le début une sécurité optimale sur l’origine et la composition des produits ET un plaisir maximum. Celui-là même qui ferait qu’à aucun moment je ne regretterais mon ancienne cigarette.

Côté liquides, pour l’éthique - je suis sensible au « consommer local » - comme pour la sécurité, je voulais des produits français. Ils n'étaient pas légion à l'époque. Mais j’ai sélectionné les meilleurs, qualifiés tant par la richesse de leurs arômes que par le sérieux des laboratoires de production.

Pour le matériel, je devais faire une croix sur mes aspirations locales. La solution, comme l’origine de la cigarette électronique, venait de Chine. Toutefois en Chine, il existe un nombre extraordinaire d’usines, de marques et de produits, dont la qualité était (et demeure !) terriblement inégale.

Après avoir testé quantité de dispositifs, j’ai fait le point sur ce que j’estimais être le meilleur, le plus simple et le plus efficace, ne sélectionnant que du matériel plébiscité par la communauté des vapoteurs du monde entier sur des critères de qualité, de longévité et de sécurité indiscutables.

« Partager l’expérience avec honnêteté et bienveillance »

Dès lors, après avoir essuyé les plâtres de mes premières expériences de vapoteuse errant dans un monde hostile et ardu, plein de mots techniques, de discours opaques, d'achats inutiles, d’a priori et de fausses rumeurs, créer Ozone est devenu une évidence.

J’imaginai un endroit où « pour de vrai », chacun pourrait découvrir le top des liquides français et le meilleur des matériels, un lieu où honnêteté et bienveillance auraient un sens. Mettre le tout à la disposition de chacun dès la première rencontre sous forme de tests libres et à volonté, pour que tout fumeur puisse, dans les meilleures conditions, ouvrir le premier chapitre de sa propre histoire avec la vape. Un espace chaleureux où le test, le conseil, l’écoute et l’accompagnement seraient systématiques. Où les avis scientifiques, les enjeux, les études sur les effets, les controverses, seraient communiqués en toute transparence.

Juste pour partager ensemble, et avec le plus grand nombre, le bonheur d’être débarrassés de l'extrême nocivité d’une terrible addiction.

« Éthique et respect du consommateur »

En 2012 lorsque ma décision fut prise, je suis allée à la rencontre des (jeunes !) fabricants de liquides au sein de leurs entreprises : il était essentiel pour moi de savoir à qui j'avais affaire et avec quel sérieux seraient traitées mes exigences de qualité et de sécurité. Ces rencontres ont confirmé mes choix. Vapoteurs convaincus, tous ont la passion de leurs produits, le souci de l’éthique et le respect du consommateur.

Tous ont en commun de ne produire de e-liquides qu'à base de propylène glycol, de glycérine végétale et/ou de végétol® de qualité pharmaceutique (USP). Les arômes, naturels ou artificiels, de qualité alimentaire, accèdent aujourd'hui à un grade dit « vapologique », plus rigoureux encore, dédié spécifiquement à l’inhalation. Le dosage de chaque ingrédient est parfaitement défini, contrôlé et sécurisé. Contenu, remplissage et étiquetage sont en permanence soumis à des étapes de vérification et de validation, conformes aux normes en vigueur en France.

Les e-liquides vendus chez Ozone sont garantis sans diacétyle, sans ambrox, sans parabène, sans colorants artificiels et sans OGM. Tous sont enregistrés auprès de l'ANSES, Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail. Certains contiennent des traces infimes d’alcool, sans conséquence délétère sur l’organisme humain. Parmi nos produits se trouvent toutes les marques ayant obtenu la Certification Afnor XP D90-300, première norme au monde sur les e-liquides : Vincent, Cirkus, Fuu, Alfaliquid et D'Lice. Enfin, tous nos producteurs respectent les préconisations de cette norme et garantissent des conditions d’hygiène et de sécurité optimales, offrant une parfaite traçabilité de leurs produits.

Les intervenants Ozone suivent avec attention toutes les informations du secteur et sont en formation continue sur les produits du vapotage, par le biais de nombreux échanges internes au sein du réseau. Avant tout contact avec la clientèle, chacun est systématiquement formé sur tous les produits des gammes proposées, avec un axe d'attention prioritaire accordé à l'écoute, au conseil et à l'accompagnement. Tous s'engagent sur une charte éthique et déontologique, et sont accompagnés en continu par un coordinateur réseau, mais aussi par l'ensemble de l'équipe réunie deux fois par mois.

« Ozone, une enseigne engagée »

L'engagement qualitatif de nos 11 boutiques bretonnes rejoint celui de tous les professionnels défenseurs d’une réglementation et d’une qualification de la filière vape française.

Afin de concourir à éviter les pratiques douteuses ou abusives, de lutter contre la désinformation et les amalgames savamment entretenus par le lobby du tabac, et pour défendre une vape libre de tout lien vis-à-vis des fabricants de cigarettes, Ozone est adhérente de la Fédération professionnelle Fivape, Filière française de la vape, qui regroupe plus de 800 professionnels indépendants du secteur. La Fivape est à l'initiative des normes Afnor sur les e-liquides, une première mondiale. Elle est partenaire de Santé Publique France et du Mois Sans Tabac, et j'agis bénévolement et quotidiennement en tant que membre du bureau et du conseil d'administration de la Fivape depuis 2015.

Ozone a également participé à l'élaboration d'une Certification NF des Services de la Vape auprès de l'Afnor, ainsi qu'au projet U-SAV sur le contrôle des émissions de la vape. Premier réseau indépendant breton, Ozone intègre en 2020 le nouveau Label Vape Bleue, marque collective destinée à mieux orienter les fumeurs vers les boutiques de vape spécialisées qui s’engagent sur une charte de service, de qualité, d’accompagnement et d’éthique.

Tous les déchets, batteries en fin de vie, fioles entamées et clearomizers usagés rapportés en boutique par nos clients sont confiés à Chimirec, entreprise éco-responsable de collecte des déchets en Ille et Vilaine.

En tant que consommateurs, nous partageons également les combats menés par l'Aiduce, Association indépendante des utilisateurs de cigarettes électroniques, et nos surplus sont systématiquement donnés à La Vape du Coeur, pour être redistribués gracieusement aux plus démunis.

Prolonger ce partage et le respect de ces valeurs ensemble, avec vous, en méritant votre confiance, est assurément le souhait le plus cher de toutes les équipes Ozone, avec Pauline, Élodie, Elsa, Raphaëlle, Fabien, Loann et Jordan à Rennes, Max à Montauban-de-Bretagne, Anne-Laure et Téva à Mordelles, Nathalie à Lanester, Christelle à Concarneau, Baptiste et Ludovic à Vannes, Julien à Guingamp, Anthony et Yoann à Lanvallay, Romain à Combourg, et Kevin un peu partout... ♥️


Agnès.